Voici un extrait du film de S.Kubrick, Orange mécanique, que je trouve tout à fait intéressant. On y voit les psychiatres tenter d’inculquer un sens moral à leur sujet, enfant sadique dans un corps d’adulte. Kubrik nous décrit la normalisation forcée des inadaptés et le dressage surmoïque opéré par la société. La représentation d’une psychiatrie déshumanisée, calfeutrée derrière son jargon, bien qu’elle relève du fantasme cinématographique, me semble donner à réfléchir au spectateur du XXIe siècle.
Il est à noter que la musique qui accompagne cet extrait est celle de Requiem for a dream, film particulièrment saisissant, qui traite de l’aliénation et de la dépendance. Je trouve qu’elle amplifie le pessimisme et le tragique de la scène.
Bonjour
La psychiatrie malheureusement n’a pas changée. Allez voir sur mon site « La psychiatrie nous ment » et vous verrez que les psychiatres essayent toujours de dominer l’homme sans leurs apporter d’aide. les médicaments sont utilisés comme métode de soins alors qu’ils ne font que détruire l’être.
Cordialement
jean-Sylvestre Thépénier